" Il était une fois, il y a bien longtemps, 3 jeunes filles très belles et surtout très coquettes. Dans ce petit hameau du Vercors, leurs manières surprenaient les habitants qui avaient beaucoup de mal à survivre sur cette terre aride, et froide en hiver.
Pendant que tout le monde s'affairait aux champs, nos 3 damoiselles se promenaient dans les près.
- "Ho, regardez chères amies, comme ces fleurs feraient un joli bouquet",
- "Et avec celles ci, je ferai une tresse dans mes longs cheveux",
- "Ho, regardez, le marchant ambulant de tissus monte la cote",
- "Oui, allons voir les nouvelles coloris dans sa moche carriole".
Et dans cette grande insouciance, elles se promenaient sans faire attention aux dangers de ce monde médiéval.
Un après-midi, elles partirent loin du village et............ des mécréants comme seul le moyen age en a créé virent ces jouvencelles sans gardien et si .............. appétissantes..
Vous avez compris qu'un mauvais coup se préparait.
Tout en dévalant la pente, ces malandrins criaient des obscénités que je ne peux vous traduire.
- "Au secours !" fit l'une.
- "Fuyons !" fit l'autre.
- "Ah si j'avais su" fit la troisième.
Nos trois pucelles comprirent leur erreur, et coururent vers le village si lointain ..........
Mais les talons, la longue robe, les dessous en dentelle ne permettent pas une fuite rapide ....... Et le danger se rapprochait.
Se sentant perdues, elles invoquèrent le Saint de la paroisse. Saint Nizier, toujours très vigilant envers ses protégées, avait vu la scène et se décida d'aider les « trop coquettes pucelles ».................. Mais .......... Il voulut faire un exemple pour que toutes les damoiselles comprennent que l'insouciance ne peut pas être sauvée sans conséquence.
Et plutôt que de punir directement les malandrins, qui n'étaient que des pauvres hommes, il décida ......... de transformer ces trois jeunes filles en rocher. Dans leur habit éternel, elles regarderaient le monde jusqu'à ce qu'un jour, un prince...... la bise ............ Mais vous connaissez la suite. ".